La patinoir dans le silence et moi aussi.

J'avais quité les deux jeune demoiselle au restaurant je m,en voulais beaucoup alors pour me relaxé je revenais a la patinoire, elle était vide en se moment il y avait personne apart moi etla personne qui louait les patin s'était endormi apres m'avoir onné mes patins.. je me mis délicatment a patiné. Je mamusait on aurait dit que j'avais fait déja des olimpiade de patin tellement que j'étais bonne et agile, mais non je n'avais meme jamais pris de cour. Je fit un risple saus dans les aire puis ensuite sur un pied... sa fesait du bien de patiné surtout quand il y avait personne et j,avais déja oublié ma blessure. Mais j,avais le coeur gros a cause de tentot les avoir quité si pricipitament. Et j,aimais bien la Jenny, Lady m,avait plusieure fois blessé, mais au fond je savsiq u,elle était simpa. Car au japons on dit que nos ennemis son nous plus proche ami mais ce n,est qu'un autre proverbe de mon pays.... Je fis un tour sur moi meme en finisant avec une jambe ... et je me donna un autre élant et je fit un autre tros tour dans les airtes pour retombé délicatement et agilement. Je pensais a la premier fois que j,avais fais du patin j,avais adoré ça !!! Et c'étais comme la premier fois que j,avais fais du graphisme j,avais aussi adoré ça !!!... je pensais a mon passé meme si j,avais dit que passé était malédiction !!!

je fit un soupire et commensa a me parlé a moi me ecomme il y avait personne.

-je suis idiote... peuf... je viens icci pour être mieu mais j'ai le tour de tout foutre en l'aire!!! oups... pardon je parle de mauvaise facon je dois resté polit!!!

je continuais a patiné doucement...

Après avoir lu un peu le bouquin sur le Japon, je décidai de mre rendre à la patinoire pour me changer les idées. Apparement, il n'y avait personne. Le jeune homme qui donnait les patins s'était endormi. Tant pis. Je me servis moi même. Puis, une fois qu'ils furent lassés, je me dirgeai vers la pationoire et commençai virevolter. Je tentai une triple pirouette. Gracieusement, je m'élevai dans les airs, tournant sur moi-même, avant de retomber sur une jambe, l'autre levée en l'air et de tourner. Tout d'un coup, je me rendis compte que qulqu'un m'observait. C'était Hiroko Akashi. Je m'apprêtai à m'effondrer en excuses, mais je me retins, me souvenant de sa timidité.

"Salut..." fis-je simplement, attendant sa réaction...

je patinais gracieusement quand j'entendis quelqu'un entré j'appercu mademoiselle Jenny-san, elle patina je l'observais, elle patinais bien mais avait fait une faute sur un de ses aux mais elle m'adressa la parole... je feux surprise je croyais qu'elle m'en voudrais a cause du restaurant mais je répondus pour ne pas êtr impolie.

-Bonjours, mademoiselle Jenny-san!!!

je me donna un légé élant puis je fis un tour sur moi meme très rapidement en rentrant et sortant ma jambe ce qui esait un belle éfait et mes cheuveux lon ataché fesait des spiral tout autour de moi ce qui fesait encore plus beau et apres cette figure je me mis a patiné par en arrier tout au tour d,elle fesan grasieusement balansé mon corp mince.

Cette fille patinait drolement bien ! Certes, elle manquait encore d'expérience, manquait parfois d'assurance, mais pour quelqu'un qui n'avait jamais suivi de cours, c'était époustouflant ! A ma grand surprise, elle me répondit. Je lui fis un petit sourire. Elle se remit à patiner, alors je fis pareil. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais mieux. Pour laisser libre court à ma joie, je tentai des figures que je n'avais jamais osé, réussites à la perfection ! Hiroko aussi fis de merveilleuses figures. Je voulai lui parler, mais je ne savais pas quoi dire...

"Tu patines drôlement bien!"

ce fut là tout ce que je trouva à dire...

je changeas de trajectoire et fit un cart de tour pour mélansé ensuite dans un saut a trisple tour et je retom ba en fesant un ourbillons sur moi meme intérrieur aucune faute meme pas une défaillance ... je l'écouta et en la regradnt je répondit.

-merci beaucoup Jenny-san.

je je fis une longueur avec vitesse tou en fesant des sigsage et en me tourant de bord puis ensuite je mélansa en me tournant de bord et fit un flipe ans les aire et retomba sur mes deux patins.

A chaque fois, c'est des petites réponses cortes et fermées. La conversation ne s'engagerait pas comme ça. Puis, je décovrir un éventuel point de chute :

"Jenny-San ? que veut"san" ?"

J'était trop curieuse pour ne pas lui demander. De toutes façons, je savais pas que dire d'autres...

je savais que je la désevais en donnant une courte réponse, puis en patinant je is des tour sur la glace et puis je me mis a patiné légèrement normalement pour mieux discuté avec elle, elle me posa une question j'eu un sourire elle ne connaisais pas tout sur mon pays j'oublais!!! Alors je m'appliqua pour répondre.

-c'est un mots con utilise apres le nom de la personne c,est une forme de politesse quand on as pris connaisance avec une personne !!!

je lui souris gentilment pour la rasuré puis en acoursisant ma vitesse j,arrivas a pausé mais de main parterre et a faire un flipe.. je réussi puis re renddu sur mes deux patins je fit un petit tour... et la regarda.

Je compris qu'elle s'était donné beaucoupde mal pour répondre. Cela ne devait pas être facile pour elle de parler à une insouciante comme moi !

"Je peux t'appeller..."

Je me mordis la langue pour m'empêcher de continuer. Je ne devais pas la vouvoyer.

"Je peux vous appeler Hiroko-san alors ?"

j'espèrai qu'elle ne m'en voudrait pas pour ma faute de tutoiment...

je vis son ésitement mais je voulais la rasuré alors je m,approcha d,elle et puis lui souris.... j,attendis une réponse compltement et puis je m,exclama gentiment mais toujours calment.

-bien sur que vous pouvez m,appellé Hiroko-san!!!

je lui souris encore une foi!!! et puis lui prit la main et la fit tourné en patiantn et la lacha et et puis parti t a patiné le long de la patinoire juste pour mamusé... sa me fesait du bien je n,ai que 17 ans et je n,ai pas vraiment vécu comme une enfant car la vie des pauvre au japon est dur souvant.

Je ne sais pas porquoi, mais je la trouvai bizarre. Elle était tout le temps prostrée, et fuyait comme un chat apeuré...je ne comprenais pas...

je n,entendis pas de réponse de sa par, alors je ne fit que continué a patiné délicatement pensive, je la regarda un cour instant voyant si elle allait dire quelque chose mais a mon étonement non ... je fis plusieur tour sur mes patin et puis légèrement perturbé par tout ce qui ce passais je fus disrete et tomba et me coupa sur la glace. je me releva et puis pausa rapidement unbandage sur ma main avant de recommensé a tranquillement patiné sans dire quoi que se soit je n'avais pas bronché quand j,étais tombé pas du tout... je me demandais ce qu,elle pouvait bien pensé d'une fille comme moi mais je devais l'avoié nos culture était très différente.

J'avais l'impression qu'Hiroko faisait tout ce qu'elle faisait pour s'éloigner de moi. J'en avais marre. J'étais constamment entrain de faire des efforts, et elle, pas du tout ! C'était pénible. Mais, peut-être que finalement, elle ne m'aimaistpas...Oui, ça devait être ça...
J'effectuai une magnifique pirouette avec ma grâce habituelle, et sans même un "salut", je quittai la patinoire, dans l'intention d'aller me balader un peu...

Je la vus partir la de la patinoire et je ne la ratrapas pas car je savais qu'elle migorerais ou ferait quelque chose. Quand elle sortit je fus toute seule dans la patinoire, je resta imobile pendant un instant quand cette fois si sa sortit tout seule mon sanglot éclata, je fis un légé bruit de sanglot et des larmes me coulaire sur les joues, je me laissa tombé a genoux je pleura...

*quesque c'est dificile dire que j'étais otorisé a parlé a personne et que aujourd'hui c'est tous que l'On me demande..... je suis si seule... grande soeur donne moi la force...*

je me rendis a genoux juscau bord de la patinoire et puis je m'acota le dos contre des larmes coulaire plusieure fois et je resta la sans diire un mots, silencieuse fixan ce qui avait devant moi.

En partant, je l'entendis pleurer. Un court instant, je faillis aller là voir, mais je me ravisais. Elle l'avait bien cherché ! Elle disait qu'elle n'avait pas d'amies, mais si elle les repoussait à chaque fois qu'on venait là voir, c'était compréhensible.

je fini par arreté de pleuré apres un bon moment et resta silensieuse un long moment aussi puis apres je me releva avec dificulté et puis alla a un ban j'enlevas mes patins puis alla les porté a la caisse ou la madame était toujours endormis je dit apaine un merci sans le vouloir japonais et puis je partis a mon tour les pensé lourde et le coeur échiré j'avais envie de mourire en se moment meme.

-aligato

puis je disparus ...